Mondial 2022 : Le troisième but argentin aurait dû être refusé, selon les lois de la FIFA
C’est une nouvelle polémique liée à l’arbitrage de cette finale qui fait débat. Lorsque Lionel Messi a marqué à la 108e minute de la finale de la Coupe du monde entre l’Argentine et la France, il avait mis son pays 3-2 en prolongation et apparemment sur la bonne voie pour le triomphe du tournoi.
Alors que l’Argentine a finalement dû attendre un peu plus longtemps pour goûter au succès, après une séance de tirs au but tendue après que Kylian Mbappe a marqué son but du triplé plus tard dans le match, Messi a finalement mis la main sur le trophée de la Coupe du monde à l’âge de 35 ans.
Cependant, l’analyse d’après-match a révélé que le deuxième but de Messi, marqué à la 108e minute, n’aurait pas dû tenir. Selon les Lois du Football, l’arbitre Szymon Marciniak aurait dû souffler pour un coup franc.
Alors que Hugo Lloris sauva Lautaro Martinez et que le ballon rebondit sur le chemin de Messi, les remplaçants argentins étaient déjà sur le terrain, se préparant à célébrer malgré le fait que le ballon n’avait pas franchi la ligne.
Ceci, cependant, n’est pas autorisé et aurait dû se traduire par un coup franc accordé en faveur de la France.
Coup franc pour les Bleus !
La loi 3 alinéa 9 des lois du football est claire : « Si, après qu’un but est marqué, l’arbitre se rend compte avant la reprise du jeu qu’une personne supplémentaire était sur le terrain au moment où le but a été marqué : l’arbitre doit refuser le but si la personne supplémentaire était : un joueur, un remplaçant, un joueur remplacé, un joueur exclu ou un officiel de l’équipe qui a marqué le but ; le jeu doit reprendre par un coup franc direct à l’endroit où se trouvait la personne supplémentaire. »
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