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«LE CHIFFRE 7 SYMBOLISE LA MISSION DIVINE»

Animant une conférence sur ses deux récents livres intitulés : «Les mathématiques dans le Coran» ; «Le lien du chiffre 7 à la mission divine», le professeur de Mathématiques, Youssoupha Gningue, est catégorique. Il estime en effet que le chiffre 7 symbolise la mission divine.

Pour Pythagore, les nombres gouvernent le monde. Et Goethe d’ajouter : «Non seulement les chiffres gouvernent le monde, mais encore nous montrent-ils comment il est gouverné». C’est ce que le professeur de mathématiques Yousoupha Gningue a essayé de démontrer lors d’une conférence relative aux deux ouvrages qu’il a récemment publiés.

Devant plusieurs sommités intellectuelles et du monde universitaire, Pr Gningue s’est penché sur la structure mathématique du Coran pour révéler : «La structure mathématique de base du Saint Livre est un niveau de créativité et de raffinement insoupçonné».

Disséquant le chiffre dans cette structure mathématique du Coran, il souligne : «Considérant toutes les occurrences du chiffre 7 dans la création, considérant toutes les occurrences du chiffre 7 notées le Coran, les signatures de thèmes les plus rencontrées dans le Coran sont de classe 7 ; les liens révélés à la mission divine par les 14 sourates ; nous pouvons conclure que le chiffre 7 symbolise la mission divine». Il ajoute qu’en faisant cette étude, il a détecté un code mathématique du Coran. «Il y a beaucoup de possibilités de recherches mathématiques dans le Coran. La séparation des sourates de longueur multiple de 7 : cette séparation est présente dans toutes les sourates dichotomiques et les sourates qui ne sont pas dichotomiques du Livre Saint. Je dirais que la structure du Coran sur une tablette auprès d’Allah repose sur un code mathématique qui est à la fois discret, invisible et périodique, diversifié et infini», affirme le chercheur avant d’indiquer que le code est constitués de nombres périodiques et infinis qui ne sont pas visibles dans le Livre. «Et il faut aller le chercher par la recherche. La science ne doit pas ignorer la religion ; la science ne doit pas ignorer le Coran. Ces notions mathématiques devraient être étudiées dans les classes pour pouvoir raffermir d’abord les croyances, mais aussi faire aimer les mathématiques beaucoup plus», renchérit-il.

Dans le même ordre d’idées, il estime que les gens doivent s’intéresser à un groupe de sourates. «Ici, l’ensemble mathématique qui va nous concerner, ce sont les sourates avec un nombre multiple de 7. Ce nombre est de 14 dans le Coran, constitué par un nombre de versets multiples de 7. Parmi ces 14, nous pouvons distinguer deux groupes : un premier groupe qu’on appelle les sourates dichotomiques et un deuxième groupe qui concerne les sourates non dichotomiques. Il y a deux sourates qui sont de longueur 7 dans le Coran. Il s’agit de l’Ouverture et de l’Entraide qui est sa sourate jumelle et leur signature structurelle est 1 sur 7 ; et 1 sur 7, c’est 0, 142857 qui se répète infiniment. Et ce nombre a un lien avec la structure mathématique du Coran».

Faisant une longue démonstration sur le 142857, le mathématicien montre que c’est le nombre le plus exceptionnel en mathématiques. «Parce qu’il a des propriétés qu’aucun nombre en mathématiques ne possède. Il est connu que les gens l’utilisent dans beaucoup de choses», renseigne-t-il tout en signalant dans la foulée que c’est un nombre de Kaprekar (qui est un nombre entier naturel qui, élevé au carré, peut-être séparé en deux parties dont la somme donne le nombre initial).

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