« CHEIKH YÉRIM SÉCK FACE À SES HISTOIRE », condamné à Paris et à Dakar pour non « versement d’une pension alimentaire pour MLJF »
« MACKY SALL FACE À L’HISTOIRE-Passage sous scanner d’un pouvoir africain », tel est le livre polémique sorti par le journaliste Cheikh Yerim Séck. Un livre à charge et à décharge, prévenait fièrement l’ancien journaliste de Jeune Afrique qui a passé au peigne fin la mal gouvernance du régime de Macky Sall, et les inconduites légendaires de Ousmane Sonko sur la Corniche avec une gambienne, nous étions en 2019 apparaît-il dans son livre. Un livre qui fait une radioscopie partielle et partisane des pratiques de gestion du régime de Macky Sall. Des pratiques qui sont aux antipodes de la bonne gouvernance dans un contexte politique pollué par l’affaire Sonko-Adji Sarr et la question du troisième mandat.
Parmi toutes les personnalités politiques du pays, Cheikh Yérim Seck a prétendu enquêter exclusivement sur la vie privée du leader du Pastef, mais personne n’ignore dans ce pays que Sonko est une donnée politique réelle car il est l’adversaire le plus virulent du régime et un prétendant sérieux à la magistrature suprême.
En tant que journaliste, il lui est loisible de coucher sur du papier ses opinions, ses analyses, ses enquêtes, mais a- t’il le droit d’entacher le crédit et la crédibilité d’Ousmane Sonko de cette manière aussi approximative que salace surtout quand votre nom s’associe indéniablement au viol.
Autant qu’il a l’aisance d’écrire, autant que nous avons la liberté de se poser cette question élémentaire : À qui profite ce livre ? Et de lui rappeler ses turpitudes.
Dans ce livre, « MACKY SALL FACE À L’HISTOIRE, Passage sous scanner d’un pouvoir africain », le journaliste devrait y consacrer un chapitre intitulé « Cheikh Yérim Seck face à ses histoires » pour asseoir davantage une crédibilité de ce qu’il révèle toute honte bue. Il s’y portraiture comme un irréprochable censeur, un père de famille attaché à sa progéniture, un mari qui vit une romance avec la jeune journaliste de la 2stv, bref un commissaire de police mondaine ou des mœurs.
En réalité, le journaliste est très loin de ce qu’il s’y décrit orgueilleusement.
Pour rappel, Cheikh Yerim Séck avait été condamné par la 1ère Chambre du Tribunal d’instance de Bobigny le 28 juin 2011 à Paris « au versement d’une pension alimentaire de 300 euro pour l’enfant ».
Le patron de Yerimpost s’était marié avec une sénégalaise du nom de NAF en 2007 et un bout de bois de Dieu y est conçu, un garçon MLJF, âgé aujourd’hui de 16 ans. Sauf que le porteur de plume s’était désengagé en amour vis-à-vis de la fille et en assistance partenelle envers son fils, parce qu’il a été démasqué par sa femme avec qui il vivait.
Il avait menti à NAF qu’il n’était pas marié, or il était déjà dans les liens de mariage avec une autre femme. Une fois la supercherie a été découverte par NAF, celle-ci exigeait aussitôt le divorce, ayant aucune emprise sur elle, Yérim refusait catégoriquement la volonté de NAF de rompre le mariage, mais c’était sans compter avec la Linguère NAF, qui s’est attachée les services de ses avocats respectifs Me Christophe Petit en France et Me Borso Pouye au Sénégal, afin que la justice se prononce sur les tartufferies romancées de Yérim Seck.
Et toutes les juridictions ont tranché à sa faveur, le journaliste est condamné à Paris et à Dakar de s’acquitter de la pension alimentaire qu’il devrait à son fils qui ne porte même pas son nom, car Yérim avait pris la tangente quand il subissait une énorme pression de sa première femme qui elle aussi prise au dépourvu par ce mariage avec NAF, contracté depuis Pikine par le journaliste, réclamait le divorce aussi.
Le patron de Yerimpost devrait d’abord faire face à ses histoires et ses turpitudes.
Comment un père de famille qui se soustrait à ses obligations paternelles, fuyant toutes ses responsabilités peut se permettre toute honte bue peut s’ériger en censeur moralisateur ?
Ps : Commentaires d’un journaliste libre